jeudi 24 avril 2008

under construction...

Un peu de ci, beaucoup de ça, une pincée de ceci, une once de celà... évaluation, transformation, création, introspection et usurpation... On construit on détruit pour créer et s'amuser... On dit, on voit, on sent, on entend... Dans tous les sens, sans aucun sens interdit de stationner... En chanté, en chanson, en conversation, en chantier...

lundi 14 avril 2008

ré-créations...






Un de mes passe-temps préféré… détourner des photos de presse et créer de nouvelles pochettes d'album... pour des compilations musicales écoutées principalement en voiture...

chroniques de l'absurde...

Tout allait pour le mieux jusqu'ici, et là : c'est le drame !
Non contente de me lancer dans cet univers du blog et de la page perso, je me connecte sur mon prestataire neuf où j'ai droit à un espace de neuf giga pour mes données perso à partager avec le reste du monde... cool !
Pour celà je rentre mon identifiant et mon serveur de messagerie... mais, DAMNED, j'ai oublié mon mot de passe... forcément entre mon code PIN, mon code de CB, mon Digicode, mon login au serveur du bureau, mon login de messagerie Notes, ainsi que les nombreux autres codes à insérer lors d'une simple connection internet... je ne sais plus, je ne sais plus, j'ai tout oublié !!!!
Heureusement chez neuf ils sont vifs, ils me proposent une solution d'enfer pile poil adaptée à la situation. Si,si...
En fait, ils m'envoient le fameux mot de passe par e-mail. Si, et je pourais le récupérer sur ma boîte mail qui est bien protégée par le même mot de passe...Situation absurde : solution absurde !
Elle est pas belle la vie ? Ce qu'ils sont intelligents les ingénieurs Cégétel quand même...
En gros me voilà bonne pour recréer un autre compte chez eux, duquel je ne pourrais plus avoir accès aux informations relatives à mon compte initial... c'est ballot !
Bon, ce n'est pas le tout, mais l'heure passe et je vais devoir rentrer... heureusement, ma voiture ne dépend que d'une simple clef à insérer dans une fente... manquerait plus que je les paumes !